Dans cette lettre adressée au commissaire du gouvernement Me Bed-Ford Claude, Me Samuel Madistin, représentant de la firme RBI dans l’affaire l’opposant à l’ULCC, demande au chef du parquet de classer le dossier en question sans suite pour absence de fondement et infractions pénales.
Me Madistin a fustigé l’ULCC qui accuse les actionnaires de la Real Business Investment RBI de « détournement de biens publics, de complicité de détournement de biens publics, de blanchiment du produit du crime et d’association de malfaiteurs ».